Après ça, je ne suis sûr de
rien. C'était soit l'odeur de la popote préparée par ce gars-là, soit
les foudres de la déesse Houblonnah, en tout cas je ne me rappelle plus
rien. Tout ce qu'il y a, c'est cette photo de mon intrépide photographe
absolument terrorisée qui s'enfuit dans le bois (c'est vous dire comment
on avait marché longtemps). |
Crédits des photos, voir ici